L’inhumation
L’inhumation se déroule généralement dans un cimetière. Elle consiste à enterrer le cercueil du défunt en pleine terre ou à le déposer dans un caveau funéraire. Il peut s’agir d’une concession individuelle ou d’un caveau familial.
En France, l’inhumation est pratiquée dans 70 % des obsèques. La raison principale de ce choix est que la plupart des religions encouragent l’inhumation.
Généralement, le cercueil est mis en terre ou déposé dans le tombeau en présence de la famille du défunt et d’un représentant religieux.
S’il s’agit de l’inhumation d’une personne croyante, le représentant religieux peut prononcer des prières. La famille, quant à elle, peut déposer des fleurs sur la tombe afin de rendre hommage au proche décédé.
La crémation
En France, le choix de la crémation est fait par 30 % de la population. Ce nombre étant en constante augmentation depuis plusieurs années.
Le principe de la crémation est de mettre le corps du défunt dans un four chauffé à 900°C, durant 1h à 1h30 afin de le réduire en cendres. Suite à cela, les cendres sont placées dans une urne funéraire qui est remise à la famille.
Selon le choix du défunt, l’urne funéraire peut être inhumée dans un monument cinéraire ou dans une tombe déjà existante.
Elle peut aussi être déposée dans un columbarium. Le défunt peut également avoir fait le choix que ses cendres soient dispersées dans un Jardin du Souvenir ou dans la nature. Il faut toutefois avoir impérativement l’autorisation de la commune concernée avant d’effectuer ce geste. Enfin, il est aussi envisageable de répandre les cendres en pleine mer ou d’y jeter directement l’urne si celle-ci est biodégradable.